samedi 28 juillet 2007

Quand Gaston ne rencontre pas Gaston

Fort logiquement, les couteaux sont tirés entre les deux hommes, GTS tenant à remercier publiquement notre golfeur préféré pour sa formidable initiative: la pose de la première pierre du marché municipal d'Uturoa (bel effort), et jour après jour Flosse discrédite systématiquement l'action du tavana de Bora Bora en l'accusant de tous les maux, comme s'il avait la rage, en usant du fameux proverbe "quand on veut noyer son chien..."


Et toutes ces masquarades ne profitent en fait qu'à Oscar, non pas le chat qui fait actuellement parler de lui pour prédire imparablement la mort aux pensionnaires d'une maison de retraite des USA (Lien vers l'article), mais notre ex président of Tahiti Nui, le grand voyageur-golfeur qui fit commander 120 bus chinois (au lieu des 60 nécessaires), pour un coût de 1,8 milliard, au lieu de 700 millions. (Voir l'article de Tahiti-Pacifique)

Aucun rapport donc entre les deux. Quoique...

Pendant ce temps là, le président Sarkozy (52 ans, ça fait rêver...) vient de ridiculiser le guide suprême, le leader des leaders des pires ordures que la Terre peut produire: le colonel général Kadhafi, dont Monsieur Temaru avait, rappellez vous, acceuilli le propre fils lors d'une escale à Tahiti-Faa'a il y a une dizaine d'années.

Aussitôt les infirmières bulgares et leur médecins palestiniens officiellement transférés vers leurs prisons respectives de Bulgarie, on les a vu libres comme l'air, comme on pouvait en fait l'espérer.

Le guide suprême a très probablement perdu des pilotes ces derniers temps et s'est couvert de ridicule, d'autant que l'argent avait été avancé par un prêt créé par Tripoli, en attendant les transferts réels.

Voilà qui fait plaisir à voir quand on se rappelle le revirement de Kadhafi quant aux victimes du DC 10 d'UTA, alors qu'il venait d'indemniser celles de Lockerbie, il avait humilier la France et Chirac, alors en froid avec les USA et la Grande Bretagne pour la guerre en Irak.

Il n'y aura peut être jamais de centrales nucléaires permettant de désaliniser l'eau de mer. A moins que la Lybie ne fasse un nouveau prêt bancaire...

Avec Kadhafi, "Le bonheur est dans le prêt".